TRAVAUX COLLECTIFS

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J’ai depuis toujours été attiré par le travail en groupe. A l'époque où j'étais étudiant, je participais activement aux mouvements revendicatifs et luttais contre l'arbitraire du système d'enseignement, analysant avec mes compagnons notre formation et notre situation en relation avec le panorama de l'art moderne. Par la suite, installé à Paris, j'ai participé à la formation du GRAV et à tout ce qu'il a réalisé collectivement. Après sa dissolution, mon intérêt pour le travail collectif n'a pas décru, au contraire. Le travail collectif effectué avec des groupes différents a eu des résultats divers selon les circonstances, les objectifs et les modes de réalisation. Dans la plupart des cas, la participation était anonyme.

 

Analyses collectives du rôle de l'artiste d'aujourd'hui, discussions en groupes, discussions publiques, rencontres entre artistes comme celles de La Havane ou celles organisées par le FAP (Front des artistes plasticiens), etc.

 

Lutte dans le milieu culture! et mobilisation d'artistes comme lors du boycottage de la Biennale de Sao Paulo en 1969, alors que la répression s'intensifiait au Brésil; « Non à l'exposition Pompidou », pendant laquelle un grand nombre d'artistes, invités ou non, dénoncèrent la manipulation des artistes par les fonctionnaires officiels de l'art, pour une opération de prestige au service du pouvoir en 1972 et qui se termina par l'intervention de la police lors de l'inauguration ratée de l'exposition; dénonciation du chantage exercé par la CAVAR (sorte de caisse de retraite qui poursuit les artistes pour les obliger à cotiser, allant même jusqu'à confisquer leurs outils de travail sans contrepartie) et occupation de lieux d'exposition officiels pour exiger leur élimination.

 

Recours aux capacités professionnelles, que ce soit pour soutenir des luttes locales (atelier populaire de confection d'affiches, « Secours Rouge des peintres ») ou des luttes populaires d'Amérique latine (manifestation « Amérique latine non officielle », etc.) sous forme de travaux graphiques ou d'organisation de l'espace lors d'expositions destinées à dénoncer l'oppression, la répression et la torture en Amérique Latine. Et aussi, dans d'autres cas, utilisation du prestige et de la reconnaissance de mon travail.

 

Réalisation de travaux collectifs :

Une expérience conçue en commun avec Fromanger et Merri, dans laquelle le spectateur est réalisateur, grâce a son imagination et aux éléments mis à sa disposition (matériel de dessin, papier, journaux, revues, ciseaux, etc.), de cartes postales à envoyer à des personnalités ou pas, du monde entier (Nixon, Mao, fiancée, professeur, fils. Pie XII, prisonnier politique, Cassius Clay, etc.). Au fur et à mesure qu'elles naissent, ces images ainsi produites sont projetées en grand format dans la salle de jeux de mon exposition de Düsseldorf.

 

- Travaux collectifs à partir d'un album de photos de famille de la veuve d'un mineur mort dans un accident au fond de la mine, avec 15 de ses collègues, en 1970. Comme dans de nombreux autres cas, la cause de l'accident n'était pas la fatalité mais bien l'exigence du rendement maximum pour obtenir des bénéfices maximum, au détriment de la sécurité des mineurs. Ce travail collectif comportait : un album de photos imprimé en offset, un autre plus grand en sérigraphie, ainsi qu'un ensemble de 16 tableaux. Ont participé à ce travail collectif : Aillaud, Arroyo, Biras, Chambaz, Fanti, Fromanger, Gradas, Le Parc, Mathelin, Merri-Jolivet, Pancino, Rancillac, Rieti, Rougemont. Sarrazin, Schlosser et Spadari. II a été exposé à Paris dans différents endroits et dans la région minière du nord de la France.

 

- Plusieurs travaux collectifs avec les étudiants de la faculté d'art, en 1973 et 1974, lorsque j'étais chargé de cours. Certains directement sur les murs de la faculté, sur des thèmes relatifs à la vie de la faculté et aux luttes qui y avaient lieu à ce moment-là. Un autre en deux parties, sur le thème du travail. L'une comportant 16 tableaux en noir et blanc, relatant les vicissitudes de la vie et du combat d'un ouvrier, et l'autre de 5 tableaux sur le thème de la déshumanisation du travail (des mains en blanc, noir et gris). Ces travaux furent exposés à Paris et en province, notamment au congrès de la CFDT (Confédération fédérale démocratique des travailleurs).

 

- Travail collectif du Groupe Denuncia (Gamarra, Le Parc, Marcos et Netto) en 1972, sur le thème de la torture, réalisé en 7 tableaux blanc, noir et gris de 2 x 2 m, qui servirent de soutien à la campagne de dénonciation de la torture comme méthode de gouvernement dans les pays latino-américains.

 

- Réalisations collectives de la Brigade Internationale de peintres antifascistes constituée en 1975 à Venise et composée de : Balmes, Basaglia, Boriani, Eulisse, Cueco, Gamarra, Le Parc, Marcos, Netto, Nunes, Perusini, Ernest Pignon Ernest, Van Meel.

Cette brigade a réalisé trois travaux collectifs. Le premier, de 12 mètres de large sur le port de Venise, pour appuyer le boycottage du transport maritime vers le Chili de Pinochet par les ouvriers du port. Un deuxième, à Athènes, dans le cadre du Congrès international de solidarité avec le Chili, et un troisième de 20 mètres de large a été réalisé à Paris à la demande du musée de la Résistance Salvador Allende.

 

- Travaux collectifs réalisés par le Collectif de peintres antifascistes, par exemple : celui de la fête du PSU (Parti socialiste unifié) sur le thème « Un monde a détruire, un autre a construire », réalisation sur place d'une série de panneaux mobiles que les participants ont ensuite promenés dans toute la fête; en mai 1976, le collectif a confectionné une grande banderole de 10 mètres de large, sur le thème du « Centre d'Art Pompidou » et l'a fait défiler avec les travailleurs lors de la manifestation du 1er Mai à Paris. Le collectif se compose de : Bezard, Bouvier, Brandon, Colin. Counil, Deriver, Dupré, Fromanger, Lazar, Lecloarec, Le Parc, Matieu, Netto, Perrot, Picart, Riberzani, Vegliante, Vignes, Yvel et Dego.

 

Ce genre de travail collectif exige une volonté, une disponibilité et une capacité de travail qu'il n'est pas toujours facile d'avoir; cela pose à chacun le problème de sa propre relation avec la recherche et le travail personnel. Le travail collectif en soi n'est pas une garantie de bons résultats, mais dans la monotonie du panorama artistique ou le quotidien se nourrit de disputes entre les différentes tendances esthétiques et de combats individuels pour réussir, le fait de travailler en commun pour quelque chose de positif, en dépit des déficiences et des nombreuses difficultés, réconforte. A travers lui se posent toutes sortes de problèmes, comme la relation entre la réalité sociale et la réalité de la réalisation collective et de son insertion dans la réalité. De la découlent tous les autres aspects relatifs à la manière d'appréhender le travail collectif, la part échue à chacun des participants, le système de décision, la réalisation pratique en commun, le choix du thème, l'opportunité d'une intervention, l'utilisation du résultat, la façon dont il est perçu, son efficacité ou non selon l'objectif fixé, etc.

I’ve always been attracted to collective work. When I was a student, I was actively participating to protest movements and I was fighting against the arbitrary education system;

I was analyzing with my mates our background and our situation towards modern art’s panorama. Then, when I was living in Paris, I participated to the creation of the GRAV and everything it had realized collectively. After its dissolution, my interest in collective work didn’t vanish, on the contrary! The collective work achieved with different group had different issues depending on circumstances, objectives and modes of realization. In most of the cases the participation was anonymous.

 

Collective analyses of the role of the artist today, group talks, public speeches, meetings with artists in La Havana or those organized by the FAP (Plastic Art Front) etc..

 

To fight in the cultural field and to mobilize artists, as for the boycott of the Biennale of Sao Paulo in 1969, when the repression was increasing in Brazil.

“No to Pompidou‘s exhibition", when many artists, invited or not, were denouncing the artists manipulation by the art functionaries officials, for a prestigious operation serving the power in 1972 and which ended up into a police intervention during the flop of the exhibition’s opening; the denunciation of the black mail of the CAVAR (a sort of pension funds which forced the artists to join, even confiscating their tools work without any compensation) and the occupation of official exhibition places to ask for their elimination.

 

To use professional capacities either to support local protests (popular workshop of posters makers, “painter’s red rescue”) or popular protests for Latin America (protest “non official Latin America” etc...) using graphic works or organizing spaces during exhibition to denounce oppression, repression and torture in Latin America. I also in some other cases, use the recognition and prestige of my work.

 

Realization of collective works:

An experience conceived in common with Fromanger and Merri, where the viewer is the director, with the help of his imagination and the elements given (drawing material, papers, magazines, scissors etc...); postcards to be sent to personalities or not, all over the world

(Nixon, Mao, girlfriend, professors, friends, Pie XII Cassius Clay etc...)

By the time those images were born, they were projected in a big format in the game room in Düsseldorf.

 

- Collective work taken from a family photos album of a mining worker’s widow, who died at the bottom of a mine with 15 others miners in 1970. Like in many others cases, the cause of the accident was not fatality, but the exigency of a maximum tenement to increase the benefices to the detriment of the miners’ security. This collective work listed: a photo album print in offset, a bigger one in serigraphy, and an ensemble of 16 paintings. Here’s the list of the participant of this collective work: Aillaud, Arroyo, Bira, Chambaz, Fanti, Fromanger,

Gradas, Le Parc, Mathelin, Merri-Jolivet, Pancino, Rancillac, Rieti, Rougemont, Sarrazin, Schlosser and Spadari. This work was exhibited in Paris in different places and in the mining area in north of France.

 

- Collectives work with students of arts faculty in 1973-74, while I was teaching there.

Some of the works were realized on the buildings walls, based on the theme related to the life in the university and the protests that were happening there. Another work in two parts, related to the theme of labour. One had 16 panels in black and white, relating the hardship and the fights of the working class man, and another piece of five paintings relating the dehumanizing of work (some hands in white, black and grey).All those pieces were presented in Paris and in provincial France, notably at the congress of the CFDT( workers federal democratic confederation ).

 

- Collective work of the Denuncia group(Gamarra, Le Parc, Marcos et Netto) in 1972 on the theme of torture, realized in 7 panels, white, black and grey 2X2 meters, which helped to support the denunciation campaign of torture as a government method in Latin’s American countries.

 

- Collective realizations of the international brigade of antifascist’s painters gathered in Venice and composed of: Balmes, Basaglia, Boriani, Eulisse, Cueco, Gamara, Le Parc, Marcos, Netto, Nunes, Perusini, Ernest Pignon, VanMeel. The brigade has realized 3 collective works; the first 12 meters high in Venice’s harbour, to support the sea freight boycott to Pinochet’s Chili by the harbor workers, and a second one in Athens for the international solidarity congress with Chili and a third one of 20 meters realized in Paris of Salvatore Allende’s resistance museum.

 

- Collective works realized by the Collective antifascist’s painters; for instance: he PSU’s fair (unified socialist party) on the theme: “a world to destroy, another to create”; we realized a series of mobiles panels, the participants had carried all around the fair.

In May 1976, the collective has confectioned a huge poster of 10 meters wide on the theme “Art Centre Pompidou” and has carried it with the workers in the demonstration of May 1st in Paris. The collective is composed of: Bezard, Bouvier, Brandon, Colin, Counil, Deriver, Dupre, Fromanger, Lazar, Lecloarec, Le Parc, Matieu, Netto, Perrot, Picard, Riberzani, Vigliente, Vignes, Yvel and Dego.

 

This kind of collective work is asking for a will, a disponibility and a work capacity which is not always easy to have. Each one has to confront the problem of its own relation with researches and personal work. The collective work is not a guarantee of good results, but in the artistic panorama’s monotony where everyday life is fed by quarrels between different aesthetic tendencies and individual fight to succeed, working together, for a positive goal, in spite of lacunas and many difficulties, is comforting.

Through collective work, there are all sorts of problems, as the relation between social reality and its insertion in reality. From it, all the other aspects related to the way to apprehend the collective work is made; the decision system, the common practical realization, the choice of themes, the opportunities of intervention, the application of the outcome, the way it’s perceived, its efficiency, or not, depending on the chosen objective etc…

 

 

Desde siempre, he estado inclinado a realizar cosas en grupo. En mi época de estudiante participando activamente a los movimientos reivindicativos y luchando contra lo arbitrario del sistema de enseñanza, analizando con mis compañeros nuestra formación y nuestra situación con relación al panorama del arte moderno, etc. Luego, ya en Paris, participando en la formación del GRAV y en todo lo realizado colectivamente por el. Después de su disolución, mi confianza en el trabajo colectivo no decayó, sino que por el contrario aumento. El trabajo colectivo realizado con varios grupos fue de características diversas según fueron las circunstancias, los objetivos y el modo de realización. En muchos casos la participación fue anónima.

 

Análisis colectivos del papel del artista en la actualidad, discusiones en grupos, discusiones publicas, encuentros organizados entre artistas como los de La Habana o los organizados por el FAP (Frente de Artistas Plásticos), etc.

 

Lucha en el medio cultural y movilización de artistas como por ejemplo: para el boicot a la Bienal de Sao Paulo en 1969 cuando se agudizó la represión en Brasil; «No a la exposición Pompidou», a la cual gran numero de artistas, invitados o no a participar, denunciaron la manipulación de los artistas, hecha por funcionarios oficiales del arte, para una operación de prestigio al servicio del poder en 1972, y que culminó con una represión de la policía en la fallida inauguración de esa exposición; denuncia del chantaje de la CAVAR (CAVAR es una especie de caja de jubilaciones que persigue a los artistas obligándolos a cotizar, llegando a embargar sus útiles de trabajo y no dando nada a cambio) y ocupación de lugares oficiales de exposición para exigir su eliminación.

 

Uso de la capacidad profesional, ya sea en apoyo de las luchas locales (taller popular de cartelismo, “Secours rouge des peintres”), ya sea en apoyo de las luchas populares de América Latina (manifestación “América Latina no oficial”, etc.) en forma de trabajos gráficos o de organización del espacio en exposiciones de denuncia de la opresión, represión y tortura en América Latina. Asimismo en otros casos usando el prestigio y reconocimiento de mi trabajo.

 

Realización de trabajos colectivos, como, por ejemplo:

Una experiencia concebida conjuntamente con Fromanger y Merri, donde el espectador es realizador, por medio de su imaginación y con los elementos que están a su disposición (material de dibujo, papeles, diarios, revistas, tijeras, etc.), de cartas postales para enviar a personalidades o no, del mundo entero (Nixon, Mao, novia, profesor, hijo, Pio XII, preso político, CassiusClay, etc.). Estas imágenesasi producidas son proyectadas a medida que se hacen en gran formato en la sala de juego de mi exposición en Dusseldorf.

- Trabajo colectivo a partir de un álbum de fotos de familia de una viuda de minero muerto en un accidente junto con 15 otros mineros en el fondo de la mina en 1970 y en el cual, como en muchos otros, la causa no es la fatalidad, sino la exigencia del rendimiento máximo para obtener máximos beneficios descuidando las condiciones de seguridad de los mineros. Este trabajo colectivo comportaba: el álbum de fotos impreso en offset y otro mas grandes en serigrafía, así como un conjunto de 16 cuadros. Participaron en ese trabajo colectivo: Aillaud, Arroyo, Biras, Chambaz, Fanti, Fromanger, Gradas, Le Parc, Mathelin, MerriJolivet, Pacino, Rancillac, Rieti, Rougemant, Sarrazin, Schlosser, Spadari. Este trabajo fue expuesto en Paris en varios lugares y en la región minera del norte de Francia.

 

- Varios trabajos colectivos con los estudiantes de la Facultad de Arte 1973-1974 cuando era encargado de curso. Algunos de ellos directamente en los muros de la Facultad, con temas concernientes a la vida interna de la Facultad y a las luchas que se desarrollaban en ese momento. Otro sobre el tema del trabajo en dos partes, una comportando 16 cuadros en blanco y negro trazando las vicisitudes de la vida y lucha de un obrero y otro en 5 cuadros sobre el tema de la deshumanización del trabajo (manos en blanco, negro y grises). Estos trabajos fueron expuestos en Paris y en el interior de Francia, particularmente en el Congreso de la CFDT (Confederación Federal Democrática de Trabajadores).

 

- Trabajo colectivo en 1972 del Grupo Denuncia (Gamarra, Le Parc, Marcos, Neto) sobre el tema «La Tortura», realizado en 7 cuadros en blanco, negro y grises de 2 x 2 m., que sirvieron de apoyo a la campaña de denuncia de la aplicación de la tortura como método de gobierno en países latinoamericanos.

 

- Las realizaciones colectivas realizadas por la “Brigada Internacional de Pintores Antifascistas”, brigada constituida en 1975 en Venecia y compuesta por: Balmes, Basaglia, Boriani, Eulisse, Cueco, Gamarra, Le Parc, Marcos, Netto, Nunes, Perusini, PignonErnest, Van Meel.

Esta brigada realizó: un trabajo colectivo de 12 metros de largo en el puerto de Venecia en apoyo al boicot de los obreros portuarios al transporte marítimo destinado a Pinochet; otro trabajo colectivo a Atenas en el marco del Congreso Internacional de Solidaridad con Chile y un tercer trabajo colectivo en Paris de 20 metros de largo solicitado por el Museo de la Resistencia “Salvador Allende”

 

- Los trabajos colectivos realizados por el “Colectivo de Pintores Antifascistas” por ejemplo: en la fiesta del PSU (Partido Socialista Unificado). Bajo el tema: “Un mundo a destruir. Un mundo a construir”. Realización, en el lugar mismo. de una serie de paneles móviles, con los que después de terminados, los componentes del colectivo hicieron un recorrido por el espacio de la fiesta; la gran banderola de 10 metros de largo realizada colectivamente en mayo de 1976, sobre el tema del “Centro de Arte Pompidou”, banderola que el colectivo hizo participar en el desfile de los trabajadores del 1º de Mayo en Paris.

El colectivo esta compuesto por: Bezard, Bouvier, Brandon, Colin, Counil, Deriver, Dupre, Fromanger, Lazar, Lecloarec, Le Parc, Matieu, Netto, Perrot, Picart, Riberzani, Vegliante, Vignes, Yvel, Dego.

 

Todo este tipo de trabajo colectivo requiere una voluntad, una disponibilidad y una capacidad de trabajo que no es siempre fácil de tener y esto plantea el problema de su relación con la investigación y trabajo personal.

 

El trabajo colectivo en si mismo no es garantía de resultados excelentes. Pero en la monotonía del panorama artístico, donde lo corriente son las luchas entre tendencias estéticas y los empujes individuales para triunfar, un trabajo colectivo al servicio de algo positivo, a pesar de sus deficiencias, es algo que reconforta, aunque no sea nunca fácil.

Toda una serie de problemas son planteados a través de él, por ejemplo: la relación entre la realidad social y lo real de la realización colectiva y su inserción en la realidad. De lo cual se desprenden todos los otros aspectos relacionados con la manera de encarar el trabajo colectivo. La parte de cada participante, el sistema de decisiones. La realización práctica en común, la elección del tema. La oportunidad de una intervención, el uso del resultado, la manera de como es recibido, la eficacia o no según el objetivo fijado, etc.

 

 

 

ATELIER LE PARC - 2014